Que faire lorsque le sujet ne rentre pas dans la cadre, à part changer d’objectif ?
Et bien le panoramique se combine très bien au stacking.
L’avantage de cette méthode est aussi d’obtenir des fichiers très riches en détails. On peut donc l’utiliser sciemment, même sur de petits sujets, pour obtenir une définition extrême.
Dans la pratique, la création de pile est la même que pour un stacking simple.
L’étape supplémentaire et délicate consiste à déplacer le sujet entre chaque pile.
L’utilisation de rails micrométriques permettant les translations est une garantie de ne pas désaxer le sujet entre les différentes piles.
En post traitement, on commence par assembler chaque pile, comme un stacking simple.
Puis les photos obtenues (1 par pile) sont assemblées dans un logiciel qui gère les panoramiques.
Affinity Photo ou Photoshop font le job.